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Infos française: En Afrique du Sud, une injection préventive contre le VIH a déjà séduit les autorités

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La PrEP (pour prophylaxie préexposition), un médicament proposé aux personnes à risque pour les protéger du VIH, existait déjà sous forme de comprimé. Mais, désormais, une version injectable (CAB-LA) a été développée par un laboratoire anglais. En Afrique du Sud, les autorités de régulation des médicaments ont d’ores et déjà approuvé son utilisation, malgré des incertitudes concernant son futur coût.

On connaissait déjà les effets de la PrEP sous forme de comprimé, qui offre un taux de protection de plus de 90 % en prévenant le virus de se fixer lors de son entrée dans le corps, et prévient donc les contaminations même lors de rapports sexuels à risqué. Mais, désormais, une injection à base de cabotégravir, à recevoir tous les deux mois, serait beaucoup plus efficace, car plus pratique qu’un médicament qu’il ne faut pas oublier d’avaler tous les jours.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande d’ores et déjà son utilisation, qui permettra de faciliter le recours à la prévention, notamment dans les pays qui ont un fort taux de prévalence, alors que le médicament est déjà disponible aux États -Unis.

Ou, avec plus de 7 millions de porteurs Sud-Africains du VIHet près de 200.000 nouvelles infections par an, le pays de Nelson Mandela rêve d’atteindre rapidement ce nouvel outil, et des projets tests ont déjà été mis en place notamment auprès des jeunes femmes.

Si le prix est adapté, le gouvernement pourrait ainsi rendre cette nouvelle injection de prévention disponible dans le pays à plus grande échelle en six mois.

Oui, mais à quel prix ?

La question financière reste en effet cruciale. Sous sa forme actuelle, l’injection reste beaucoup trop chère. Mais un accord a été négocié avec l’organisation du Medicines Patent Pool (MPP) pour proposer un prix réduit dans 90 pays à revenus faibles et intermédiaires, dont l’Afrique du Sud. Cependant, on ignore toujours le prix final. Et, dans la nation arc-en-ciel, ces incertitudes sont le combat mené dans les années 2000 pour obtenir en rappel des traitements contre le Sida à prix abordable.

À (ré)écouter ► Bien vivre avec le VIH ? Oui mais pas pour tout le monde

Lise Jamieson, du bureau de recherche en économie de la santé et de l’épidémiologie (HE²RO) de Johannesbourg, a calculé quel serait un prix louable pour Pretoria : « Aux États-Unis, le prix actuel s’établit autour de 22.000 dollars par an, ou 3.000 dollars par injection. Ce prix sera très sans doute réduit : le Medicines Patent Pool est déjà parvenu à faire cela avec d’autres médicaments par le passé, explique Lise Jamieson au micro de Claire Bargeles de la rédaction Afrique. Mais nous, nous avons intégré ce qu’on appelle un modèle épidémiologique, pour calculer à quel prix cette version injectable doit être mise sur le marché local pour être aussi louable que si on augmente la distribution du médicament oral. […] Et, selon nos estimations, ce prix devrait être entre 9 et 14 dollars par injection, ou entre 60 et 100 dollars par an. Donc moins d’un 1% du prix actuel aux États-Unis ! »

Et la chercheuse de conclure : « Si le médicament est trop cher, personne n’aura les moyens d’y avoir accès et cela soulève des questions éthiques : pourquoi produire un médicament si on ne peut pas le fournir aux populations qui en ont le plus besoin ? »

Ouvrages sur le même thème:

Histoire des institutions publiques de la France.,(la couverture) .

Mélenchon : la chute.,Référence litéraire.

Photographie/Personnalités/W/Sabine Weiss.,Lien sur la description .

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Actu française: qui a employé les présumés mercenaires interceptés à Malte ?

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Saisir les mercenaires britanniques en route pour la Libye ont donc été interceptés à Malte. C’est le Malte aujourd’hui qui l’a révélé. L’affaire remonte à il y a trois semaines. Selon le quotidien, les autorités ont expliqué qu’elles allaient prendre un vol privé pour la Libye, probablement pour Misrata. Ces anciens militaires britanniques ont travaillé pour la société privée de sécurité de Jack Mann, l’un des amis proches du prince Harry, de la famille royale britannique. Jack Mann faisait d’ailleurs lui-même partie du groupe.

Intercepté, avec ses employés, Jack Mann est suspecté par la police maltaise d’avoir violé le régime de restrictions imposées par l’ONU sur les importations d’armes et le mercenariat en Libye. Cet ancien officier britannique et ses collègues ont d’abord expliqué qu’ils allaient dispenser des formations médicales et sportives en Libye. Mais la police s’est rendue compte que leurs certificats de formateurs étaient faux. La police maltaise soupçonne ces hommes arrivés en ordre dispersés à l’aéroport d’être des mercenaires. Plus tard, relâchés, l’espace aérien maltais leur est maintenant interdit pour se rendre en Libye.

Jack Mann, âgé de 40 ans, est un ancien officier de l’armée britannique. Il a servi en Irak et en Afghanistan avant de fonder, en 2015, Alma Risk, une société de sécurité privée basée à Londres. Selon son site officiel, cette entreprise n’embauche que des vétérans de l’armée, de la police ou d’autres agences gouvernementales britanniques.

Jack Mann n’est autre que le fils de Simon Mann, lui-même ancien officier britannique devenu mercenaire. Il a notamment été le cerveau d’une tentative de coup d’État en Guinée équatoriale, en 2004.

Des questions en suspens

Aujourd’hui, plusieurs questions restent en suspens : qui un employé ces présumés mercenaires ? Et dans quel mais ? Les opposants au premier ministre Dbeibah, l’accusent directement. Ils le soupçonnent d’accepter de payer des indemnités à Londres qui réclament depuis de nombreuses années des compensations à l’État libyen, pour les victimes de l’IRA soutenues par Kadhafi dans les années 70.

« Il y a une volonté très marquée, de la part du Premier ministre Dbeibahaffirme le chercheur de Global initiative, Jalel Harchaoui. Il est tout à fait disposé à raviver des dossiers comme Lockerbie. Pourquoi ? Parce que ça lui donne l’opportunité de faire des cadeaux, destinés à être agréables vis-à-vis des États-Unis, et on peut être autorisé à penser que la même chose est en marche entre Dbeibah et le Royaume-Uni. D’ailleurs c’est un État très étroitement lié à Dbeibah, une grande sympathie de la part des britanniques vis-à-vis du Premier ministre Dbeibah et il cherche à prolonger sa survie au pouvoir, il cherche à se protéger coûte que coûte, c’est une espèce de fuite en avant. Et une logique très importante dans cette fuite en avant, ça consistait à faire des cadeaux auprès de certains États dont les Émirats arabes unis, la Turquie, bien sûr, la Grande Bretagne et les États-Unis comme on l’a vu avec l’extradition supposée, qui n’a pas eu lieu, mais je pense qu’elle a failli avoir lieu, celle d’Abdallah Senoussi ».

Un Senoussi qui est l’ancien ministre de l’intérieur de Kadhafi. Il est suspecté dans l’affaire de l’attentat de Lockerbie.

Implication multiple en Libye

Pour plusieurs responsables libyens parmi les détracteurs de Dbeibah, les mercenaires britanniques avaient tenté d’aller à la recherche des documents et des preuves qui relateraient l’implication de Kadhafi dans ce conflit.

Dbeibah, qui a affirmé que l’État libyen devrait prendre ses responsabilités pour les crimes commis par l’ancien régime libyen, a déjà livré aux États-Unis, le mois dernier, un officier libyen soupçonné d’avoir fabriqué la bombe qui a fait exploser l’avion de la Panam au-dessus de Lockerbie en Ecosse, en 1988.

Ce n’est pas la première fois que des militaires britanniques sont impliqués dans des activités de mercenariat en Libye.

En 2020, les experts des Nations unies avaient publié un rapport révélant qu’en juillet 2019 déjà, quatre mercenaires britanniques avaient rejoint les côtes libyennes depuis Malte à bord de bateaux pneumatiques. D’autres sont arrivés de Jordanie par avion. Direction Benghazi.

Employés par le maréchal Haftar, l’homme fort de l’est libyen, ils ont désormais gardé des champs pétroliers. En réalité, ils seraient venus lui fournir des armes. En raison d’un différend financier, les mercenaires ont dû quitter précipitamment le pays en emportant 55 millions de dollars sans remplir le contrat.

►À lire aussi : Seize mercenaires britanniques en route pour la Libye interceptés à Malte

Livres sur le même sujet:

Histoire de la France médiévale/La vassalité.,Fiche du livre. Disponible sur internet.

La France et la Suisse gourmandes.,Redirection vers la fiche de présentation de ce livre.

Souvenirs de police.,Clicker Ici .

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Infos france: Trois ans après le crash, la lutte politique des familles du vol PS752 contre le régime iranien

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Le 8 janvier 2020, un Boeing de l’Ukraine International Airlines a été abattu par deux missiles iraniens peu après son envol de l’aéroport du Téhéran. Niant un temps toute implication, le régime a ensuite admis les tirs, prétextant une menace pour la sécurité. Les familles des victimes, majoritairement irano-canadiennes, dénoncent, elles, un acte terroriste. Elles ont trouvé dans les manifestations anti-régime un nouveau souffle pour leurs combats.

De notre correspondant à Montréal,

Les militants sont une petite dizaine, ce jeudi 5 janvier, dans le froid hivernal de Montréal, assis, le nez emmitouflé, tremblants, mais déterminés, sur le trottoir du siège de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). Jusqu’au dimanche 8 janvier, ils ne bougeront pas. Ce jour-là, cela fera trois ans que le vol PS752 a été détruit par le régime iranien au-dessus de Téhéran, prenant la vie de 176 personnes à bord, dont 85 ressortissants canadiens.

► À lire aussi : Boeing ukrainien abattu : un rapport iranien pointe « une erreur humaine »

Parmi les manifestants, bonnet orange radié sur la tête, la militante canadienne Helya Sohaeilinia, bénévole dans l’association Femmes, Vie, Libertéà Montréal. « On est tous là avec notre cœur, pour représenter les intérêts des Iraniens et, plus important encore, pour représenter l’intérêt du vol et la mise en place d’une enquête indépendante », soutient la jeune femme. En effet, si les données de la boîte noire du vol PS752 ont été extraites par le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile de Paris, l’enquête a été dirigée au régime iranien. Le gouvernement canadien pourrait également faire un geste fort, ajoute Hélya : « Il pourrait expulser Farhad Parvaresh, représentant du régime à l’OACI. Cela ouvrirait la voie vers l’expulsion d’autres représentants du régime. »

Depuis la mort de Mahsa Amini et le début des manifestations anti-régime en septembre 2022, la lutte pour la vérité sur le vol PS752 bénéficie d’un nouveau souffle. Le 22 octobre, des dizaines de milliers de manifestants ont parcouru les rues de Berlin après un appel de l’association des familles victimes du vol PS752. Un membre d’une famille de victime est ainsi passé soutenir les militants devant l’OACI, avant de repartir. « On est tous très en peine, et on veut montrer qu’on est derrière lui, qu’il sache qu’il a une deuxième famille sur qui il peut compter. Le vol PS752, c’est l’un des plus gros meurtres commis par le régime iranien », s’indigne Helya Sohaeilinia.

L’importance de faire avant

La plupart des familles des victimes habitant à Montréal sont déjà parties à Toronto. Ce dimanche 8 janvier, elles se réuniront pour la première fois toutes ensemble dans une immense salle, physiquement, après des années à échanger en visioconférence. Armin Morattab, 36 ans, est déjà sur place. Il a perdu son frère et sa belle-sœur dans la catastrophe, et est membre de l’association des familles des victimes du vol PS752. « La raison d’être de cette association, c’est de nous rassembler, nous avons perdu des êtres chers et nous avons un ennemi commun. Nous avons un grand combat à mener face à un gouvernement sauvage », explique-t-il.

Fondée en avril 2020, trois mois après le drame, l’association est un groupe de soutien, mais aussi pour objectif d’obtenir justice. Amirali Avali, 30 ans, a perdu sa mère dans le drame. Ancien ingénieur, il reprend ses études en droit pour mener la lutte et dirige le comité juridique de l’association. « Dès les premiers jours, il était clair que notre objectif principal était de rechercher la vérité et la justice, car tous nos proches ont été supprimés à nous d’une manière cruelle, sans aucune conséquence. Des personnes qui, selon nous, étaient aux plus hauts niveaux de créance, ont été louées comme des héros, notamment le commandant de la Force aérospatiale des Gardiens de la révolution islamique, Amir Ali Hajizadeh », dénonce-t-il. Amirali parle sans peur, malgré les risques de représailles qu’il encourt. « Il y a une peur, bien sûr, sur tous de la famille en Iran. Mais vous savez, la détermination, les sentiments que nous avons à l’intérieur, la nature injuste de toute cette affaire, révoque la prise de risque. »

Recours juridiques

L’association a appuyé un rapport de l’ONU mettant en évidence la responsabilité du régime iranien. Des jugements ont été rendus, notamment par un tribunal de l’Ontario, pour dédommager les victimes. Mais l’État iranien reste hors de cause. Désormais, pour Amirali, c’est à la communauté internationale de prendre le relais. « Nous pensons que nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour essayer de faire en sorte que les auteurs de ces crimes soient rendus des comptes, des aspects publics aux aspects judiciaires, en passant par l’implication d’organismes internationaux », explique l’étudiant en droit.

Les pays qui ont perdu des citoyens dans ce drame, le Canada, l’Ukraine, la Suède et le Royaume-Uni, ont lancé une procédure en s’appuyant sur la Convention sur la répression d’actes illicites dirigés contre la sécurité de l ‘aviation civile. Si aucun arbitrage n’est trouvé sous six mois, la cause pourrait être portée devant la Cour internationale de justice.

Autre enjeu majeur, les protestations contre le régime, dont l’Association des familles du vol PS752 se font largement l’écho. Dans les manifestations, les slogans pour le vol PS752 se mêlent aux slogans « Femmes, vie, liberté ». La lutte interne en Iran est devenue encore plus personnelle, déclare Amirali : « Nous savons que nous n’obtiendrons pas réellement justice tant que le régime iranien sera au pouvoir, parce que la totalité du noyau du régime était impliquée dans la destruction du vol PS752. »

Bibliographie :

Histoire de France/La monarchie absolue.,Référence de ce livre.

La France d’hier.,A lire. .

Technologie/Lignes et services de tramways/Prolongements et créations de lignes de tramways en Île-de-France/Le prolongement du T2.,Ici la fiche de présentation.

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Infos française: La junte malienne gracie les 49 soldats ivoiriens arrêtés en juillet #France

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Voici les « bonnes pages » d’un article que je viens de voir sur internet. Le thème va inévitablement vous ravir. Car la thématique est « Actualité française ».

Sachez que l’écrivain (présenté sous la signature ) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Texte original :

Publications:

Essai de prospective environnementale. 2040, nord de la France…/Souvenirs des années 2020.,A lire. .

La France va s’en sortir.,Présentation du livre.

Tournée générale. La France et l’alcool.,L’ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

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Informations française: Dupond-Moretti va s’engager sur une rallonge du budget de la Justice #France

Actualites-nationale-Refus-dobtemperer-mortel-a-Nice-Zied-ne

Notre équipe va mettre en pleine lumière ce papier qui vient de paraître, dont le thème est «Actualité française».

Identifié sous la signature «», l’auteur est positivement connu.

Le post a été divulgué à une date indiquée 2023-01-05 08:46:00.

Voilà ll’article :

Bibliographie :

Histoire politique de la France depuis 1945 – 11e éd..,Description. Ouvrage de référence.

La France médiévale – Livre de l’élève – Edition 1999.,Lien sur la description . Disponible dans toutes les bonnes bibliothèques de votre département.

Technologie/Lignes et services de métros/Prolongements et créations de lignes de métros en Île-de-France/La création du Grand Paris express.,Informations sur cet ouvrage.

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Infos française: face à la crise de l’hôpital public, les autorités intimées à la prudence

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L’agence sanitaire britannique publie cette semaine un communiqué devenu presque habituel : si vous êtes malades, travaillez de chez vous et portez des masques. S’agit-il d’une résurgence du Covid ou d’autres virus ?

De notre correspondant à Londres,

Si vous prenez le métro, vous verrez beaucoup de voyageurs renifler, se moucher, éternuer ou tousser bruyamment. Il y a le Covid, dans une certaine mesure, mais surtout une épidémie de virus respiratoires hivernaux, de scarlatine (surtout chez les enfants) et de grippe, particulièrement virulente cette année. Un cocktail rendu possible par les premières fêtes de fin d’année complètement libres depuis trois ans, sans mesures de restrictions sanitaires et avec une immunité un peu réduite du fait des confinements successifs.

Voilà donc pourquoi l’Agence sanitaire du Royaume-Uni recommande aux Britanniques, mais ne les oblige pas, à se montrer un peu plus prudents et à se protéger des microbes qui flottent dans l’air hivernal. Et rappelle aux personnes habilitées qu’il n’est pas trop tard pour se faire vacciner contre la grippe.


►À lire aussi : Le Royaume-Uni déclare la pénurie de sang dans les hôpitaux publics et rapporte des opérations

L’hôpital public en pleine crise

Il y a bien sûr la volonté que tout le monde reste en bonne santé, mais surtout, les autorités essaient de préserver l’hôpital public, car les admissions à l’hôpital ont déjà explosé, précisément pour des virus respiratoires et pour la grippe ; +79% pour celle-ci la dernière semaine de décembre en Angleterre. Plus d’un lit sur dix est occupé par des patients avec le Covid ou la grippe.

Ou le contexte est compliqué pour l’hôpital public britannique, le National Health Service ou NHS. Les représentants des médecins du NHS parlent du « pire hiver » qu’ils étaient connus, à cause de cette juxtaposition de virus ; pire hiver alors que les deux précédents ont été marqués par des vagues du Coronavirus.

►À lire aussi : Royaume-Uni : la gronde historique des hôpitaux prend de l’ampleur

Mais l’hôpital public traverse de manière générale une crise sans précédent. Tous les journaux, toutes les émissions de radio diffusent ces témoignages glaçants : ce nonagénaire qui après une chute et une probable fracture de la hanche a dû patienter près de 36 heures pour qu’une ambulance vienne la chercher ; cet homme bloqué aux urgences, sur un fauteuil roulant pendant plus d’une journée en attendant de se faire opérer d’une crise d’appendicite. Les dossiers d’ambulances devant les hôpitaux, ces images qui avaient choqué durant la pandémie, sont aujourd’hui monnaie courante, expliquent les professionnels de santé.

Cette crise est multifactorielle (manque de lits, manque de professionnels et absence de prise en charge à l’extérieur) mais la conséquence est que les malades attendent de plus en plus longtemps aux urgences. Le message des autorités, depuis plusieurs semaines est vraiment d’éviter les urgences au maximum. Ce qui passe donc par des mesures de protection pour éviter de contracter les virus respiratoires d’hiver, potentiellement mortels pour les plus vulnérables.

►À lire aussi : Le Royaume-Uni face à une pénurie de médecins aggravée depuis le Brexit

Publications sur un propos similaire:

Atlas de la Seconde Guerre mondiale. La France au combat : de la drôle de guerre à la Libération.,Lien sur la description .

Photographie/Finition et présentation des photographies/Diaporama.,L’ouvrage .